Transports : comment se déplacer au Kenya ?

Il est fortement déconseillé de conduire soi-même au Kenya. Le réseau routier goudronné est assez imprévisible et le meilleur y côtoie le pire. Les routes nationales rayonnant depuis Nairobi sont très irrégulièrement entretenues. Les pistes sont inégales et souvent défoncées (surtout après la saison des pluies). La conduite se fait à gauche.

Pour ces raisons, nous vons recommandons d’utiliser les services d’un chauffeur-guide francophone ou anglophone pendant votre voyage au Kenya. En minibus ou en 4 x 4, vous pourrez organiser avec lui vos safaris comme bon vous semble.

Précautions pour les safaris

Les déplacements se font en véhicule tout terrain 4 x 4 ou en minibus. Pour faciliter l’observation des animaux, les 4 x 4 sont équipés d’un toit ouvrant. Il est interdit de descendre du véhicule à l’intérieur des parcs et des réserves, pour des raisons évidentes de sécurité. Dans la brousse, nous sommes tolérés par les animaux tant que nous restons dans le véhicule. On ne peut circuler dans les parcs et les réserves que pendant la journée, de 6 h à 18 h et la vitesse y est limitée à 25 km/h. 

Un chauffeur-guide kenyan francophone, spécialiste de ce terrain, qu’il sillonne depuis longtemps, vous prend en charge du début à la fin de votre safari. Il connaît les parcs et les réserves, ainsi que les hommes qui les traversent ou y habitent. Il saura vous faire partager sa passion pour la faune et la flore du pays. Par sa personnalité et son sens des contacts humains, il vous fera découvrir la réalité et la richesse de sa culture. Il est là, aussi, pour veiller à la bonne réalisation des prestations prévues au programme, dans les meilleures conditions d’assistance et de sécurité possibles. Respectez scrupuleusement ses indications.

Dans la réserve d’Amboseli, au pied du Kilimandjaro, vous serez confronté à une abondante poussière blanche et fine, s’infiltrant partout (de même à Tsavo, où la terre est de couleur rouge).